Qu’il est loin le temps où l’on pouvait partir le nez au vent sur les pistes du Sahara, dans la cordillère des Andes ou sur les bords du Mékong ! Désormais, qui prétend voyager hors des sentiers battus passe pour une tête brûlée ou un irresponsable. Le monde est dangereux, dit l’air du temps. Enigmatique et inamical. Lire la suite dans le journal Le Monde